Test de nomophobie – Évaluation fiable et rapide

SOUFRREZ–VOUS de nomophobie
(dépendance au téléphone portable) ?

Votre smartphone est-il devenu indispensable ? Évaluez votre dépendance en 6 minutes.

Le test « Êtes-vous nomophobe ? » a été conçu par le Dr. Emeric Lebreton, docteur en psychologie, pour vous aider à identifier votre niveau de dépendance au smartphone. Il vous permet de faire un point clair et objectif sur votre relation à la technologie mobile.

Ce test comporte 15 questions et se réalise en 6 minutes. Il s’appuie sur les travaux de Serge Tisseron (2013), psychiatre spécialiste des usages numériques et des mécanismes d’attachement aux écrans.

La nomophobie, contraction de "no mobile phone phobia", désigne la peur excessive ou irrationnelle d’être privé de son téléphone portable. Cette forme moderne de dépendance se manifeste par un sentiment d’angoisse, d’irritabilité ou de vide lorsqu’on ne peut pas utiliser son téléphone, que la batterie est faible ou qu’on envisage simplement de s’en séparer temporairement.

Ce que vous allez obtenir :

1. Un score personnalisé mesurant votre relation au smartphone,
2. Une interprétation claire et nuancée de votre niveau de dépendance,
3. Des conseils pratiques pour réguler votre usage et reprendre le contrôle.

Pourquoi ce test est-il différent ?

• Créé par un expert en psychologie, le Dr. Emeric Lebreton,
• Basé sur un cadre théorique reconnu, les travaux de Tisseron sur les addictions numériques,
• Validé par des professionnels en psychologie clinique,
• Déjà des milliers de personnes accompagnées dans une démarche de bien-être numérique.

Pourquoi le faire maintenant ?

Dans un monde ultra-connecté, prendre conscience de notre relation au smartphone est essentiel pour préserver notre santé mentale. Ce test est une étape simple, rapide et sans jugement vers une meilleure hygiène numérique.

👉 Tarif de lancement : 4.99 €. Une prise de conscience qui peut faire toute la différence.

Références scientifiques : 

Tisseron, S. (2013). Le jour où mon robot m’aimera : Vers l’empathie artificielle. Paris : Albin Michel.